Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous.
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Sujet: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 0:15
Amarandre Isobel Genuyt.
Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique.
◊ prénoms: Amarandre Isobel. ◊ nom(s): Genuyt. ◊ emploi: Etudiante en psychologie + bénévole dans l'hôpital où travail Evance. ◊ âge: vingt-deux ans. ◊ situation sociale: en couple. ◊ ville: Paris. ◊ groupe: What i'm dreaming of.
◊ quel est votre avis sur la capacité à voir les morts? Est-ce qu’on peut voir peut voir les morts ? Je pense que oui et j’ai envie d’y croire est ce que ça fait de moi une folle qu’on devrait mettre à l’asile parce qu’elle raconte des histoires des plus douteuses et anormales… J’ai envie de dire que chaque personne à son avis sur la chose et qu’on ne devrait pas être en jugé. J’ai envie de rentrer chez moi et de me dire que quelqu’un dans ce monde a un lien spécifique avec l’au-delà et ses personnes sont les plus chanceuses, même si ça ne doit pas être facile tous les jours de voir des proches sous ses yeux alors qu’il y a maintenant deux ans qu’ils sont six pieds sous terre. . ◊ avez-vous perdu quelqu'un de cher à votre cœur? si oui, qui? J’ai perdu mère il y a deux ans, elle est morte d’un cancer du sein. Elle avait développé les symptômes à mon entré en faculté de psycho, elle était tellement fière de sa fille qu’elle ne voulait pas m’inquiéter de cette maladie qui pour lui envahissait toute sa vie… Comment je l’ai appris ? Quand j’ai commencé à voir qu’elle perdait de plus en plus de cheveux au fil des semaines et presque des jours, c’est à ce moment là qu’elle m’a parlé de sa maladie et que je lui en ai voulu d’avoir gardé ça pour elle toute seule alors qu’elle avait besoin d’aide. Elle a intégré une chambre dans un hôpital assez bon de Paris dès le lendemain sans que j’ai son consentement évidemment, elle était ma mère et elle avait besoin de moi et j’avais besoin d’aide pour avancer. Faisant une pause sur mes études pour être le plus possible à ses côtés, surtout que les médecins n’étaient pas très rassurants sur une potentielle guérison qui pensait vraiment minimes… Et ils avaient raison, ma mère n’eut aucune chance et la maladie prit le dessus sur ses forces qui lui restaient trop rapidement à mon goût. ◊ qu'avez vous ressenti en apprenant sa mort? Au début, je voulais pas y croire. Les larmes coulaient le long de mon visage, mon cœur se serraient un peu plus dès que mon regard ce posait sur le corps sans vie de ma mère, mais je ne pouvais y croire… Une infirmière me demanda gentiment si je voulais aller prendre l’air et c’est à ce moment là que j’eux un déclique, m’écroulant sur le corps de ma mère toute les larmes que je retenais en moi depuis une semaine glissèrent sur mes joues rougis. Je ressentais un vide énorme à l’intérieur de moi-même comme si une partie de ma vie, de mes souvenirs étaient parties loin avec elle et son dernier soupire. Je ne pus rien faire à part pleurer et peut-être manger ce qui resté au frigo, mais rien d’autre et ça pendant plus d’une semaine et encore heureusement que j’avais mes amis qui ont commencé à s’inquiéter pour moi autrement je ne sais pas jusqu’où j’aurais été… Je ne ressemblais plus à rien, un sac d’os sans aucun sentiment, tel un zombie je continuais à vivre jusqu’à ce que je me reprenne en main, en me foutant une claque mental des plus royal et j’ai recommencé à vivre pour elle et pour moi par la suite. ◊ aimeriez-vous pouvoir lui parler une dernière fois? Quelle question. Bien sur, je donnerais tout ce que j’ai pour avoir la chance encore une fois de caresser son visage si fin et de poser mon front le sien pour sentir son odeur qui me rassurait tellement quand j’étais dans le doute et l’incompréhension totale… Lui dire aussi tout ce que je n’ai pas eu le temps de faire avant son départ. Lui dire qu’elle était la meilleure mère du monde, que même si on s’éloignait à des moments je ne pouvais oublier les souvenirs en sa présence. La remercier de m’avoir élevé sans jamais baisser les bras alors qu’elle n’avait aucun soutien de sa famille et de mon père puisque chacun d’eux lui avaient tournés le dos sans essayer de comprendre et pour ça je crois bien jamais je ne pourrais assez la remercier et pour finir je crois que je lui dirais ce que je ne faisais pas souvent parce que ce n’était en aucun cas dans mes habitudes, mais je lui dirais que je l’aime plus que tout au monde et que ça même si on se disputait certains soir et que je promettais le contraire comme une idiote ce n’était point vrai. Ma mère c’est une des meilleures choses que j’ai eu dans ma vie et je n’aurais voulu l’échangé même contre tout l’or du monde, parce qu’elle restait quand même mon petit rayon de soleil.
Je suis le monstre qui dort sous ton lit mais je t'en prie, appelle-moi Summer Breath/Pauline. On m'a souvent dit que je ne faisais pas mon âge, pourtant j'ai Seize ans et j'ai encore toutes mes dents ! Et sans rire, si je suis arrivé(e) ici c'est simplement que j'ai suivi la fée clochette l'autre nuit, même si en réalité j'ai vu la publicité sur bazzart. Après observation je dois avouer que je le trouve superbe, en plus de ça je dois remercier Tumblr et LJ pour son art en libre service. Arf, je peux pas m'en empêcher, je dois vous l'avouer dites mot de la fin ou commentaire
Dernière édition par Amarandre I. Genuyt le Dim 30 Jan - 2:21, édité 13 fois
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 0:16
Assise au chevet de ma mère, une main tremblante sur la sienne presque sans aucune vie, je reste là le regard fixait sur son visage qui à l’air si neutre et j’avais l’impression qu’elle ne ressentait aucune souffrance en ce moment même. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres, je pense vraiment que n’importe qui me prendrais pour une folle à ce moment précis, mais je n’en avais rien à faire. D’un coup les moniteurs autour d’elle commencèrent à biper et on me sortit de la pièce aussi vite que le médecin qui rentra pour s’occuper de ma mère. J’étais confiante à ce moment précis, je savais que ma mère allait se battre et ne me laisserais pas… Non pas maintenant. « Mlle Genuyt. » demanda le médecin qui sortait de la pièce, il s’approcha de moi avec ce regard qui voulait tout dire, mais je ne voulais pas y croire, pas maintenant. « Je suis vraiment désolé, mais cette fois-ci la maladie a été la plus forte. » NON ! Je m’empressais de courir vers la chambre de ma mère, me laissant tomber à ses côtés, je ne pouvais y croire merde, ma mère était encore avec moi il y a deux minutes et maintenant elle se retrouve dans un monde parallèle au notre. Mes yeux se remplirent d’eau et d’un revers de la manche de mon pull, j’effaçais se qui me brouiller la vue et me serrer le cœur à l’intérieur de la poitrine. « Mademoiselle, voulez-vous prendre un peu l’air. » me proposa gentiment l’infirmière qui s’occupait de nous depuis l’entrée de ma mère dans cet hôpital. Je la suivais sans vraiment savoir pourquoi, mes jambes voulaient sortir le plus rapidement de cet enfer alors que mon cerveau m’ordonnait de retourner au près de celle qui était ma mère. A peine posais-je un pied dehors, que je rejetais ce poids qui se faisait sentir au niveau de mon ventre, me laissant seule avec la pluie qui tombait depuis le début de la journée sur Paris… Les larmes coulèrent enfin sur mes joues, se mélangeant avec les gouttes fines de la pluie, m’écroulant à genoux sur le sol comme une âme en peine. L’infirmière se précipita vers moi et me releva difficilement pour me rentrer à l’intérieur de l’établissement, je marchais sans vraiment savoir où, mais en réalité je le savais au plus profond de moi. Je me retrouvais dans la chambre de ma défunt mère, m’écroulant de nouveau sur elle, la remplissant de toute l’eau qui s’était imprégné dans mes vêtements et mes cheveux. « Ne me laisse pas… Pas maintenant. » Dis-je entre deux sanglots et merde qu’elle connerie cette maladie, pourquoi ma mère putain de merde pourquoi elle !! Je me poserais toujours cette question et franchement je ne comprendrais jamais pourquoi on me l’a enlevé aussi tôt.
« Tu vas le revoir ? » me demanda Sergio tout en s’appuyant contre la porte de ma chambre, alors que je me dépêchais d’enfiler une paire de botte afin de retourner à mes cours le plus rapidement possible. « Qu’est ce que ça peut te faire de toute façon. » Un silence s’installa dans la pièce pendant que je fourrais la moitié des mes affaires dans un sac que je positionnais sur mon épaule avant de sortir de la pièce en jetant un regard à Sergio rapidement sentant un certain malaise entre nous, mais rien de bien grave. J’entre dans la salle de bain, repositionnant mes cheveux blonds derrière mon oreille vite fait et m’empressais de descendre les escaliers suivit de mon meilleur ami. « Non, je m’en fiche. Je veux juste que ce soit le bon pour toi. » Le bon pour moi ? Et depuis quand il se faisait du souci pour ça celui- là. Je souris en coin attrape mes clés de voiture et ma veste que je tiens pour l’instant dans la main et pose une main sur la poignet de ma porte d’entrée et me rétracte. Revenant en arrière je dépose mes lèvres sur sa joue, ébouriffant par la suite ses cheveux noirs laissant un épi qu’il se dépêcha de replacer étant pire qu’une fille à propos de ses cheveux. « Tu m’emmènes ? » dis-je avec un grand sourire sur mes lèvres, il leva les yeux au ciel et sortit les clés de sa poche en signe d’affirmation. Un petit cri de joie sortit de ma bouche avant de me dirigeais dehors pour entrer dans sa voiture que j’aimais beaucoup à vrai dire. Je me dis souvent que j’ai de la chance de l’avoir le petit Sergio parce que même si c’est un vrai débile des fois, il est très important dans ma vie maintenant. « Arrête de rêver jolie blondinette parce que tu baves. » Je fus surpris et par réflexe j’essuyais le coin de ma bouche avant de froncer les sourcils et de lui lever mon magnifique majeur en sa direction. « Moi aussi je t’aime. » rajouta t-il avant de grimper dans sa voiture en rigolant.
Evance était là son visage au-dessus de moi, embrassant tendrement mes lèvres. Son bipeur nous sortit de notre bulle d’amoureux. « Je dois y aller. » dit-il en m’embrassant encore une fois doucement. « D’accord. » Je souris doucement et le laissais gentiment se lever avant de le tirer de nouveau vers moi en attrapant son bras, se retrouvant de nouveau près de moi, je l’embrassais tendrement en passant une main dans ses cheveux brun. Et oui comme vous le voyez, je suis enfin avec l’homme qui me faisait tant rêver. « Amarandre, c’est vraiment urgent là. » essaya t-il de dire entre deux baisers que je déposais sur ses lèvres. « D’accord, vas-y. » Il sourit et posa ses lèvres sur le sommet de mon crâne avant de partir dans la salle de bain pour se préparait le plus rapidement possible, puisque quand on utilise son bipeur c’est quand il a une urgence et ce n’est pas vraiment un bon signe pour mon chéri. Je me redressais sur mon lit, le drap entourait autour de mon corps, je me levais pour lui préparait son café. Enfilant son tee-shirt qui traînait sur le sol, je me hâtais dans la cuisine en me disant que jamais au grand jamais je n’aurais pensé une seule seconde quand je l’ai aperçu à mon lycée qu’on finirait ensemble et qu’on serait comment dire assez heureux dans l’ensemble. J’étais amoureuse de lui et je ne pouvais imaginer ma vie loin de lui maintenant et même si on ne se voit pas souvent, je sais que notre amour est vrai et surtout sincère. Evance me rejoignit dans la cuisine entourant ma taille de ses bras, déposant ses lèvres dans mon cou avant d’attraper sa tasse et de filer à son travail pour sauvé quelques vies encore une fois. « Je t’aime. » criais-je alors qu’il entrait dans sa voiture, un sourire se dessina sur ses lèvres et m’envoya un baiser dans l’air que j’attrapais en rigolant. On pouvait être nié pour certains, mais moi j’aimais ça et je ne changerais pour rien au monde ce bonheur qui m’envahissait un peu plus chaque jours.
Dernière édition par Amarandre I. Genuyt le Dim 30 Jan - 18:11, édité 12 fois
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❝ Evance Apollinaire ❞
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 0:18
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout. (: Bienvenue à toi et si tu as une question, n'hésites pas!
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 0:22
Hi Et, yes j'ai des questions je te mpotte tout de suite (a)
❝ Sergio Alberto-Ingales ❞
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 0:28
BIENVENUE.
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❝ Evance Apollinaire ❞
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 0:29
Pas de soucis, je vais voir ça. (:
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❝ Evance Apollinaire ❞
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 12:26
Étant donné que la seconde Amarandre à font sa fiche il te reste deux jours pour finir la tienne. (:
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 14:52
Pas de soucis, je la fini tout de suite
❝ Meadow A. Clyann ❞
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 17:49
Bienvenue ! Bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 18:12
Merci et je pense avoir fini
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❝ Evance Apollinaire ❞
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 18:43
Après en avoir parlé avec Sergio, nous avons décidé d'attribuer le rôle d'Amarandre à la seconde personne qui avait, selon nous, mieux cerné le personnage. J'espère que tu resteras tout de même parmi nous et si tu as besoin d'aide pour un autre avatar, n'hésites pas.
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 18:46
Pas de soucis, de toute façon je m'en doutais, j'étais pas super fière de ma fiche Euh par contre est ce qu'on peut me supprimer parce que pour l'instant j'ai pas d'idée de personnage donc je vais y réfléchir et m'inscrire de nouveau :)
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❝ Evance Apollinaire ❞
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 18:47
D'accord, j'espère vite te revoir malgré tout.
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous. Dim 30 Jan - 18:47
Y a pas de soucis :)
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Sujet: Re: Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous.
Amarandre • On me dit que le destin se moque bien de nous.
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