O.-SLOANE ✣ terminé.

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Olivia-Sloane Redbird

mettre une citation ici.

◊ prénom(s): Olivia-Sloane Rozen. ◊ nom(s): Redbird. ◊ emploi: Interne en chirurgie. ◊ âge: Vingt-sept ans. ◊ situation sociale: Fiancée. ◊ ville: Paris. ◊ groupe: everything in it's right place.

◊ quel est votre avis sur la capacité à voir les morts? Que dire à propos de ça ? Pour moi - parce que mon avis est différent des autres pour ne pas changer - c'est du n'importe quoi. Que l'imagination est fertile chez certains et spécialement débordante chez d'autres. Je ne sais aps où ils ont été pêché ça, sérieusement. Voir les mrots ? Et pourquoi pas déplacer les objets ou lire les pensées tant qu'on y est ? Désolée mesdames, messieurs, je ne crois que ce que je vois et vu que je suis pas encore folle au point de voir des morts, je ne crois pas en cette histoire. Le jour où je parlerai à un mort, ce jour-là j'y croirai, en attendant, je vais me garder de zieuter les gens qui causent tout seul en prétendant se taper la conversation avec un décédé. ◊ avez-vous perdu quelqu'un de cher à votre cœur? si oui, qui? Oui, j'ai perdu la personne la plus cher à mon coeur d'ailleurs. J'ai perdu ma mère. Certains trouvent ça hilarant de blaguer sur un sujet aussi sensible que cleui-là parce que 'les jupes de ma mère me manquent' soit disant alors que ce serait plutôt sa docue présence et ses calins réconfortants qui me manquent. C'est un sujet qu'il vaut mieux éviter d'aborder avec moi, c'est bien pourquoi je refuse de papoter de ma vie personnelle en aprticulier de mes parents. Mon père : un bon un rien, ma mère : malheureusement décédée alors que c'est elle qui méritait le plus de rester en vie. Une femme formidable qui en a fait beaucoup pour son enfant et son mari, croyez-moi. Je pense que c'est l'une des seule personne a me connaitre réellement et qui pouvait me faire décocher un sourire dans n'importe quelle situation. Après on s'étonne que sa mort m'a bouleversée. C'est ma mère bon sang ! ◊ qu'avez vous ressenti en apprenant sa mort? Ce que tout le monde devrait ressentir en apprenant la mort de sa mère, je crois. Dans un premier temps, c'est un choc pur et dur. On est les yeux écarquillés, parfois la bouche ouverte et on 'bug'. Ensuite vient le déni. On ne veut tout simplement pas y croire parce qu'on veut pas qu'un de nos proche meurt, ce qui est tout à fait logique. Alors on secoue souvent la tête en répétant un 'non' plusieurs fois. Vient enfin l'acceptation, ou plutôt l'obligation d'accepter. On est au pied du mur : on a pas le choix, elle est bel et bien morte, les faits sont là. Et là, on fait le tour des pires sentiments possible. Ca fait un mal de chien, certains pleurent, d'autres n'ont que les larmes aux yeux. Je suis passée par tout ça et je dois dire que je préfèrerai que ce soit la première et dernière fois ... Malheureusement, tout le monde en vient à mourir un jour. ◊ aimeriez-vous pouvoir lui parler une dernière fois? Je suis devenue une jeune femme autoritaire, froide, qui cache ses sentiments, une fille forte et dure en gros. Ma mère ne serait pas spécialement contente de me voir comme ça car selon elle, les sentiments sont fait pour se faire voir, s'exprimer ... C'est moins facile de dire ça quand on est timide et pas aprticulièrement à l'aise en toutes situations, comme je le suis, faut pas croire : les apaprences sont trompeuses. Donc, si un jour je lui aurai reparlé, elle 'maurait sans aucun doute fait la morale ... mais oui, ça m'aurait bien plus d elui dire un dernier mot, de lui parler une dernière fois. Mais c'est impossible, évidemment.

Ici, vous rédigerez l'histoire de votre personnage, en un texte synthétique ou en plusieurs anecdotes. Un minimum de 50 lignes est demandé. Cela peut paraître excessif mais sachant que le code utilisé pour la fiche de présentation raccourci le champs d'écriture, c'est très vite atteint. Et puis n'oubliez pas qu'on demande un certain niveau (; Aussi, ne vous sentez pas obligé de nous parler de la tronche du médecin qui vous a fait sortir de votre maman. On s'en moque.. Sauf si il a des répercutions sur votre histoire. (:

Je suis le monstre qui dort sous ton lit mais je t'en prie, appelle-moi Red Shade/Vendela. On m'a souvent dit que je ne faisais pas mon âge, pourtant j'ai 16 ans et j'ai encore toutes mes dents ! Et sans rire, si je suis arrivé(e) ici c'est simplement que j'ai suivi la fée clochette l'autre nuit, même si en réalité j'ai trouvé le lien sur bazzart. Après observation je dois avouer que le forum déchire sa mémé en string léopard à pois rouge, en plus de ça je dois remercier crédit bannière et icons (ici castellans et littlecigars@lj pour son art en libre service. Arf, je peux pas m'en empêcher, je dois vous l'avouer dites je vous aime tous déjà (a)

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O.-SLOANE ✣ terminé. Tumblrlbrxep94tc1qbjrw4

J'étais à l'école toute la matinée cette journée-là. Je n'avais heureusement - ou malheureusement - qu'une demi journée de cours et j'ai put rentrer à midi donc. C'est ma tante qui est venu me chercher, contrairement aux habitudes qui était que ma mère vienne. Dès cet instant, j'ai compris qu'un truc clochait, que ce n'était pas normal. Durant le trajet, ma tante ne m'a pas adressé une seule fois la parole, ce qui n'arrivait jamais à vrai dire vu qu'elle était pleine de vie et toujours très dynamique, mais là, rien. J'étais mal à l'aise durant tout le voyage jusqu'à la maison. Ma tante semblait triste comme je ne sais quoi et moi je n'étais pas à ma place là-dedans alors que j'étais heureuse de rentrer à la maison et d'avoir l'après-midi à moi. Elle s'est garé et a arrêté la voiture. J'ai ouvert la portière, comme elle et on est sortit. J'ai pris mon sac et je l'ai apss éà mon épaule avant de faire claquer la porte pour la fermer. Je me suis alors dirigée vers la maison et là, ma tante a éclaté en sanglots sans que je ne comprenne pourquoi, en plein milieu de la route. Paniquée sachant que c'est une route fort pratiquée, j'ai courut jusqu'à elle, je lui ai pris le bras et l'ai tiré jusqu'au trottoir. Etrangement, je ne l'ai pas sermonée. Je suis directement rentrée à la maison en la plantant là, encore en rage contre son imbécilité. La première chose que j'ai vu en entrant c'est mon père, affalé sur le canapé et les yeux rougis qui a éclaté à son tour en sanglots à ma vue. Qu'avais-je bien put faire de si horrible pour susciter une telle réaction chez mon père ? Je me suis approchée doucement, comme si je sentais une colère proche alors que je ne le voyais pas bouillir comme à chaque fois, c'était vraiment de la pure tristesse. Ou est maman ? Ais-je alors bredouiller. Ses larmes ont repris de plus belle, m'annoncant rien de bon. Ou ... Ou est maman ?! Commençais à paniquer. Il m'a pris alors par les épaules et m'a fait asseoir. J'ai juste obtempérer comme un robot et je l'ai regardé sècher ses larmes avec difficulté. Ma ... Ma chérie. J'ai hoché la tête, c'était bien moi. J'ai ... une mauvaise nouvelle à t'annoncer. Comment ce faisait-il que je n'étais même pas étonnée ? Ta mère est ... Morte. Une larme se faufila sur ma joue et tomba sur ma main.

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J'avais marché pendant je ne sais combien de temps. J'étais juste sortie de la maison en courant, ne me préoccupant pas de mon père criant après moi ni de ma tante en pleures, j'étais juste sortie car j'en avais besoin, vraiment beaucoup besoin. Et j'avais marché, tout simplement. Pour me sortir de la tête ma journée de merde, pour me sortir de la tête la mort de ma mère. J'essayai de me calmer, de ne pas pleurer, je l'avais toujours dit que je ne pleurerai aps et pourtant mes alrmes étaient là, coulant sans mon accord. Soudain, des goutes tombèrent. Je jurai mais m'en fichait la seconde d'après : ça allait avec mon humeur après tout et j'adorai la pluie, non ? Mais d'habitude, c'est pour y danser dessous que je sors, pas pour marcher et oublier. Je ne sais pas trop comment ni pourquoi j'ai atterit devant la maison de ma meilleure amie mais j'étais devant. J'ai observer la maison une minute avant de me rapprocher de la porte d'entrée, j'ai regarder la sonnette un instant avant d'appuyer dessus sans trop savoir pourquoi, sans me demander si je dérangerai les occupants ou pas. J'étai trop bouleversée par l'annonce pour ne serait-ce que faire fonctionner un seul neuronne. La porte s'est ouverte peu après, ma meilleure amie était sur le seuil de la porte, m'observant avec incompréhension, un peu choquée de me voir dans un état aussi lamentable sans doute. Qu'est-ce que t'attends, entre, Sloane ! Me cire-t-elle presque. J'obtempère sans rien dire, mes vêtements dégoulinants sur le sol de leur maison. Elle m'a regardé un instant, ne sachant sûrement pas quoi faire alors que je restai plantée devant elle. Elle a posé ses mains sur mes épaules et m'a poussé jusque dans sa chambre. Reste là une seconde. M'a-t-elle dit avant de partir. Elle a ramené une serviette et la posé sur ma tête avant de frictionner à l'aide de ses deux mains, sèchant mes cheveux. Je grelotai mais ne me plaignis pas, après tout c'était moi qui m'étai mise seule dans cet état. Je l'ai entendu soupirer. Lève tes bras, Liv. Ce que je fis dans un état second. Elle 'ma retiré mon haut puis mon jeans avant de me rhabiller d'un de ses pyjamas trop grand pour moi. Elle a poser une main sur ma joue et m'a fixé dans les yeux. Qu'est-ce qui s'est passé, ma belle ? M'a-t-elle demandé d'une voix très douce. Bien que je n'eus aucune envie de parler, les mots sortirent seuls. Ma mère est morte. Fis-je d'une voix morne. Ses yeux se sont écarquillés avant que je ne vois plus que son mur, ses bras m'entourant et ses cheveux me chatouillant le menton. Elle a passé sa main dans mes cheveux, me disant des mots qui me calmèrent. Elle est ... morte, Anna. Me répétai-je sans m'en rendre compte. Ca va aller, Liv, Ca va aller. Je sentis quelque chose couler le long d ema joue, je portai une main et recueillit la goutte d'eau. Une seconde suivit le chemin et une troisième ... Je ne parvins plus à m'arrêter alors que je serrai ma meilleure amie dans mes bras.

Après ça, je ne sais pas trop comment ni pourquoi mais j'ai changé. Je veux dire par là que je me suis renfermée sur moi à ma manière. A la place d ebroyer du noir et d'être désagréable à un point que s'en est risible, je me suis mis eà deux cent pourcent dans mes études. J'ai voulut devenir chirurgienne, pour sauver des vies, comme celle de ma mère que je n'ai pas put sauver. Je sais que ce n'est pas de ma faute, mais c'est pas pour autant que je ne m'en veux pas. Je me dis toujours si. Même si je sais qu'avec des si on pourrait refaire le monde ... Bref. A présent, je suis interne en chirurgie, je me débrouille bien visiblement et ce métier me plait énormément. Mon caractère en a pris un sacré coup, lui aussi. Y paraît que je suis plus froide, plus autoritaire, plus dure entre autre. La vie n'a pas été facile avec moi, je en vois pas pourquoi je serais gentille avec les autres du coup. Puis je suis bien comme je suis. Plus sûre de moi, plus ambitieuse, et si ça fait de moi une salope, alors j'en suis une. Après tout, qui se fiche de ce que les autres pensent ? Certainement plus moi. Y a une histoire bizarre sur des gens qui pourrait voir les morts qui circule depuis quelques temps. C'est vraiment étrange comme truc. Bizarre comme idée et franchement dit complètement idiote. Je veux dire : voir les morts ? C'est morbide merde ! Et carrément absurde. Je vois des petits éléphants roses moi tant qu'on y est. Il ont un peu trop forcé sur l'alcool ou fumer la moquette, au choix mais ils devraient cesser rapidement, ça nuit aux gens. Ce que je comprendrais jamais c'est qu'il y a des gens qui y croient, je veux dire : ils sont cons à ce point ou ils le font exprès ? Sérieusement, redescendez sur terre ou bientôt vous croirez à la résurrections qui ferez un suicide colectif pour le prouver ! Ou va le monde ...

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J'entends mon réveil sonner, je tapote sur la table de nuit avant de trouver cet emmerdeur et de le couper après maintes essais. J'ai faillit l'envoyer à nouveau manger le mur mais je me suis contrôlée, cette fois. Je me recouche sous els couvertures et les jète sur moi, râlant comme à mon habitude sur l'heure trop tôt du matin. Après, quelques étirements, je finis par me lever et allaer à la cuisine, je me saisi du courrier en passant et feuillette rapidement les enveloppes. Eau, électricité, abonnement ... Atypique. Une enveloppe différente. Je le jauge du regard un instant, ça ne me disait rien qui vaille. Je la retourne et l'ouvre rapidement avant d'en ressortir la lettre. Je lis : "Mademoiselle Olivia-Sloane Redbird (...) votre visa a expiré (...) priée de quitter la France incessament sous peu (...) Nos sentiments distingués (...)". Et je tombe des nues. Les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, je pousse le juron du siècle avant de répété que 'non ce n'est pas possible' une bonne dizaine de fois. C'est pas vrai ! c'est pas possible ! Pas maintenant ! Je tournai en rond depuis cinq bonnes minutes à répéter la même chose quand la porte d'entrée s'est ouverte et que ma meilleure amie m'a intérrogée sur mon activité matinale fort peu ordinaire. Qu'est-ce qui t'arrives, Livia ? J'ai relevé un regard embué avant d'éviter le sien et de baragouiner dans ma bare un instant ... Et de tout lui raconter. Je ... Mon visa. Il ... a expiré. Je marquai une pause pendant laquelle elle était trop choquée pour m'interrompre. Qu'est-ce que je vais faire Anna ?! J'étais au trente-sixième dessous.